Conscients des effets secondaires des produits chimiques, une méfiance s’implante auprès de ces derniers. Désormais, la médecine alternative est devenue une option non négligeable pour passer outre le stress, la fatigue, voire la maladie. D’ailleurs, la France commence à reconnaître les vertus de leurs pratiques (homeopathique, sophrologique, etc.) en flexibilisant les lois sur leurs mises en marché. Cependant, la nécessité de faire des recherches sur les mutuelles et médecines douces est essentielle, car leur remboursement par la sécurité sociale est devenu problématique. La question est : la sécurité sociale peut-elle parfois rembourser certaines pratiques naturelles ?
Assurance maladie : remboursement par la sécurité sociale de certaines pratiques thérapeutiques
Effectivement, l’ensemble des pratiques thérapeutiques n’est pas couvert, car la reconnaissance de leur réelle efficacité s’avère encore complexe. À titre d’exemple, malgré le fort potentiel des médicaments homéopathiques sur le marché, ces derniers ne sont plus couverts par la sécu sociale française depuis le début de l’année 2021. Cela est également valable pour la naturothérapie et la consultation d'un psychothéparpeute, sauf si l’assuré est souscrit à une assurance maladie complémentaire. À savoir que l'assurance maladie peut exceptionnellement prendre en charge les séances de psychologie, si le psychologue exerce au sein d’un centre hospitalier ou un centre médico-psychologique (CMP).
Les propositions d'une assurance maladie complémentaire ?
En somme, mutuelle et médecines douces ne peuvent être séparées, car une simple assurance maladie s’aventure rarement à couvrir un médecin non conventionné. Alors, l’assurance maladie complémentaire s’arrange avec la médecine alternative, en développant une couverture spéciale, appelée “forfait médecine douce”, pour répondre à la demande de certaines personnes. De cette manière, un forfait de 400 €, payé annuellement, parviendra à couvrir un grand nombre de pratiques thérapeuthiques (acupuncture, osthéopathie, naturothérapie, etc.), tout comme celui de 200 € pour des séances limitées et préalablement définies.
Astuces avant de contracter chez une assurance maladie complémentaire
La souscription à une assurance maladie mobilise énormément de ressources financières, ainsi l’élaboration d’une fine stratégie est d’ordre capital avant de s’y engager. À noter que, mutuelle et médecines douces se traduisent surtout comme lieu de rencontre des meilleurs offres et des besoins (en termes de pratiques thérapeutiques). Alors, une grande rationalité économique est exhortée de la part des futurs assurés, pour que ces derniers puissent jouir d’un forfait grandement efficient. Finalement, le futur assuré se doit de vérifier l’enregistrement de son spécialiste auprès de la mutuelle, chez qui il souhaite souscrire, pour que “SES” séances puissent être remboursées.